« Putain de camion » chantait Renaud en évoquant la mort de Coluche.
« putain de 7 janvier » se remémorons nous un an après ces terribles assassinats.
« putains d’autres dates » qui ont vu périrent, hommes, femmes, enfants lors d’attentats commis par des illuminés…
Faut-il un anniversaire pour commémorer des événements aussi inadmissibles que stupéfiants qui ont marqué le monde entier ? Faut-il un battage médiatique pour se rappeler que notre République est ébranlée ? Faut-il attendre de nos dirigeants le lancement du débat citoyen autour de ces problématiques ?
Nous avons pris parti à café Charlie de travailler dans la durée pour essayer de comprendre ce que devient ce monde et comment nous allons préserver le vivre-ensemble.
L’état d’urgence est bien sur ce champ…